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Actualités - CHRONOLOGIE

Commerce L’Algérie veut une transition pour entrer dans la zone arabe de libre-échange

L’Algérie va demander une période de transition avant d’adhérer à la zone arabe de libre-échange, a annoncé samedi le ministre algérien du Commerce el-Hachemi Djaâboub. Alger va demander lors de la prochaine réunion de la Ligue arabe, en septembre au Caire, de bénéficier d’une période de transition, ce qui impliquera pour elle de « faire un démantèlement progressif des droits de douane et de ne pas aborder d’une façon frontale son entrée dans cette zone », a précisé le ministre. La zone arabe de libre-échange est entrée en vigueur en janvier 2007, avec la participation de 17 membres de la Ligue arabe sur 22, dont les échanges représentent 94 % de la totalité du commerce arabe, avait indiqué le secrétaire général de la Ligue Amr Moussa en décembre. Il avait précisé que l’Algérie avait présenté en octobre 2006 les « documents nécessaires » pour son adhésion, mais qu’elle n’avait pas formellement adhéré à cette zone. La Mauritanie, la Somalie, Djibouti et l’Union des Comores n’avaient pas non plus adhéré en janvier. La zone regroupe l’Arabie saoudite, Bahreïn, l’Égypte, les Émirats arabes unis, l’Irak, la Jordanie, le Koweït, le Liban, la Libye, le Maroc, Oman, l’Autorité palestinienne, le Qatar, le Soudan, la Syrie, la Tunisie et le Yémen. Sa création avait été décidée par le sommet arabe d’Amman en 2001. Les pays participants ont progressivement éliminé leurs droits de douane les uns vis-à-vis des autres.
L’Algérie va demander une période de transition avant d’adhérer à la zone arabe de libre-échange, a annoncé samedi le ministre algérien du Commerce el-Hachemi Djaâboub.
Alger va demander lors de la prochaine réunion de la Ligue arabe, en septembre au Caire, de bénéficier d’une période de transition, ce qui impliquera pour elle de « faire un démantèlement progressif des...