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Actualités - OPINION

FLÉCHETTES Le Cid extralucide

Une blague connue : le grand Merched tape à la porte de la voyante du coin. Elle crie : qui c’est ? Il redescend l’escalier… Deux voyants peu voyants. L’un est à Baabda, bunkérisé, Bucarestisé. Avec rien que des Wi’am Wahhab à se mettre sous la dent. L’autre n’est pas place de l’Étoile. Où prend sa place une moindre étoile. Le bien nommé Raad, qui tempête tant. Ces deux invisibles prédisent (anagramme de président !) une déroute US face à l’Iran comme face à Damas. À les entendre, les arrogants Amerlocks, ces m’as-tu-vu, iraient cette fois se faire voir… chez les Grecs. Dès ce mois de novembre ! Sans doute même avant le 22, de préférence. Pour réannuler l’indépendance. On reste donc dans la vision. Sans attendre les pythonisses, les oracles, les augures, les traditionnels astrologues enjuponnés de fin d’année et de télévision. Le premier prend d’ailleurs une telle longueur d’avance qu’il annonce, sans sourciller, sans sourire (sinon d’aise), l’exil du tandem Hariri-Joumblatt. Une fois que, comme pour les Arabes le Cid acide jadis le paria, les Yankees seront devenus des parias. J. I.
Une blague connue : le grand Merched tape à la porte de la voyante du coin. Elle crie : qui c’est ? Il redescend l’escalier…
Deux voyants peu voyants. L’un est à Baabda, bunkérisé, Bucarestisé. Avec rien que des Wi’am Wahhab à se mettre sous la dent.
L’autre n’est pas place de l’Étoile. Où prend sa place une moindre étoile. Le bien nommé Raad, qui tempête tant.
Ces deux invisibles prédisent (anagramme de président !) une déroute US face à l’Iran comme face à Damas. À les entendre, les arrogants Amerlocks, ces m’as-tu-vu, iraient cette fois se faire voir… chez les Grecs. Dès ce mois de novembre ! Sans doute même avant le 22, de préférence. Pour réannuler l’indépendance.
On reste donc dans la vision. Sans attendre les pythonisses, les oracles, les augures, les traditionnels astrologues...