« Je suis le Jésus-Christ de la politique, une victime patiente qui supporte tout, qui se sacrifie pour tous », a-t-il...
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Italie Berlusconi se compare à Jésus-Christ
le 13 février 2006 à 00h00
Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi a inauguré l’ouverture officielle de la campagne pour les élections législatives des 9 et 10 avril par un feu d’artifice de plaisanteries de qualités diverses en n’hésitant pas à se comparer à Jésus-Christ.
« Je suis le Jésus-Christ de la politique, une victime patiente qui supporte tout, qui se sacrifie pour tous », a-t-il lancé lors d’un meeting électoral samedi soir à Ancône (Est). La veille à la télévision, M. Berlusconi, satisfait du bilan de ses cinq ans de gouvernement, avait assuré que « seul Napoléon a fait mieux » que lui.
Silvio Berlusconi, qui ambitionne d’emmener à une nouvelle victoire la coalition de centre-droit, a aussi pris pour tête de turc le chef de file de l’opposition Romano Prodi, qui demanderait en vain au génie de la lampe d’Aladin de le rendre intelligent, et a raillé le physique de Piero Fassino, secrétaire national des démocrates de gauche (DS, ex-communistes). Les leaders de l’opposition, habitués à la faconde sans limites de leur adversaire, se sont essayés à la contre-attaque.
Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi a inauguré l’ouverture officielle de la campagne pour les élections législatives des 9 et 10 avril par un feu d’artifice de plaisanteries de qualités diverses en n’hésitant pas à se comparer à Jésus-Christ.
« Je suis le Jésus-Christ de la politique, une victime patiente qui supporte tout, qui se sacrifie pour tous », a-t-il...
« Je suis le Jésus-Christ de la politique, une victime patiente qui supporte tout, qui se sacrifie pour tous », a-t-il...
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