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Bizri refuse toute atteinte à la dignité de sa famille

À la suite de la convocation de sa sœur, Roukaya, pour comparaître devant la commission d’enquête internationale en tant que témoin dans l’enquête sur l’assassinat de l’ancien Premier ministre Rafic Hariri, le président du conseil municipal de Saïda, Abdel Rahim Bizri, a eu hier une réaction virulente, refusant que « la dignité des personnes soit ainsi foulée du pied ». Au cours d’une intervention à la LBC, M. Bizri a assuré que « le vil personnage qui a inventé ces informations ignore qu’il est impossible que nous fassions partie de ce complot atroce ». « Il est vrai que nous savons comment nous défendre, a-t-il poursuivi. Mais nous sommes tristes pour deux raisons, la première étant que des doutes sur la crédibilité de l’enquête commencent à être exprimés depuis la convocation de ma sœur, et la seconde parce que d’autres personnes auraient été convoquées injustement alors qu’elles n’avaient personne pour les défendre. » Par ailleurs, M. Bizri a reçu hier un deuxième appel téléphonique du Premier ministre Fouad Siniora. À ce propos, il a indiqué que M. Siniora « est tout à fait au courant des détails de cette affaire ».
À la suite de la convocation de sa sœur, Roukaya, pour comparaître devant la commission d’enquête internationale en tant que témoin dans l’enquête sur l’assassinat de l’ancien Premier ministre Rafic Hariri, le président du conseil municipal de Saïda, Abdel Rahim Bizri, a eu hier une réaction virulente, refusant que « la dignité des personnes soit ainsi foulée du pied ».
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