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Actualités - CHRONOLOGIE

Chebaa, les fumées de l’intox

Qui a tiré en premier ? Ce n’est pas important. Il faut voir qui tire… les marrons du feu (des canons). Quand, à Damas même, Roed-Larsen affirme que Chebaa n’est pas libanais, Farouk el-Chareh, à ses côtés, ne pipe mot. Ce qui est une drôle de façon d’en dire long. Bien plus long encore, cet exposé tortueux autant que tordu, développé sur une chaîne arabe par un officieux syrien. Pourquoi Damas n’homologue-t-elle pas la libanité des hameaux à l’ONU et qu’on en finisse ? Parce que, répond ce laborieux laborantin de l’ubuesque, cela voudrait dire que quelque part, on aurait accepté un autre processus que le retour aux lignes du 4 juin 1967. On vous fait grâce des explications détaillées oiseuses de cette étrange logique. Qui signifie en pratique que la Syrie veut qu’on lui rende Chebaa, au titre de la 242, avant de le restituer (ou pas…) au Liban. Le Hezbollah souscrit-il à ces vues et à ces contradictions ? On ne sait pas trop. La dernière prestation télévisée de son secrétaire général adjoint, cheikh Naïm Kassem, cristallisait une ferme défense de la Syrie. Présentée comme l’agressée. Même face au Liban. Et c’est tout dire. J. I.
Qui a tiré en premier ? Ce n’est pas important. Il faut voir qui tire… les marrons du feu (des canons).
Quand, à Damas même, Roed-Larsen affirme que Chebaa n’est pas libanais, Farouk el-Chareh, à ses côtés, ne pipe mot.
Ce qui est une drôle de façon d’en dire long.
Bien plus long encore, cet exposé tortueux autant que tordu, développé sur une chaîne arabe par un officieux...