Voilà que pour toi l’heure du départ a hélas sonné. Tu es parti bien trop tôt, sans avoir eu le temps de profiter de la vie, de l’amour des tiens, de vivre tout simplement…
Ton départ nous a plongés, nous qui t’avons connu et aimé, dans la tristesse et la douleur et suscite dans nos cœurs un sentiment de révolte face à l’injustice de la vie.
Pourquoi toi, pourquoi maintenant ? Nous ne le saurons jamais ni ne le comprendrons. Mais ce qui ne fait pas de doute, c’est que de là où tu es, tu nous vois, nous souris et veilles désormais sur nous.
Tu resteras toujours dans nos mémoires et dans nos cœurs l’incarnation de la bonté, de la générosité, de l’amour et surtout un exemple de courage.
Ta lutte contre la maladie a été une lutte de tous les instants. Même dans les moments où tu étais assailli par le doute et l’angoisse, tu as résisté avec une force inouïe, tu as su rester gai, confiant et soucieux du bonheur des autres.
Tu avais la rage de vivre. Et tu méritais de vivre. Tu méritais le meilleur de la vie, malheureusement cette même vie en a décidé autrement…
Cher Sélim, tu es désormais notre ange gardien.
Nous ne t’oublierons jamais. Nous t’aimons.
Tania YOUAKIM
***
Je n’aurai jamais imaginé un jour correspondre avec toi à partir d’un monde différent de celui que tu as rejoins aujourd’hui, pour te remercier d’avoir largement contribué à la naissance d’une des plus belles histoires d’amitié vécue. Elle a lié depuis bientôt trente ans, Philou, Nabs, Saghso, l’Antoine, toi mon Gedso et moi-même d’un indéfectible sens de fraternité, qu’aucune force extérieure n’aurait pu ébranler. Et pourtant, voilà la grande faucheuse venue nous défier en t’emportant, et nous amputant de tout ce que tu as pu représenter pour nous de plus cher. Désormais, en t’arrachant de cette racine pure qui nourrissait notre noyau dur, la vie ne sera jamais plus la même.
Mon Gedso, toi roi du budget et de la planification, comment n’as-tu pas réussi à calculer les conséquences et le prix que chacun d’entre nous aura à remplir dans cette nouvelle réalité qui nous prive de ta personne ?
Cependant, ton courage à toute épreuve au fil de ces trois dernières années a nourri en nous l’espoir de continuer à vivre cette belle histoire. Un espoir auquel nous te serons à jamais redevables, puisque tu nous l’insufflait dans les pires moments de ta souffrance. Maintenant que tu es parti, mon Gedso, nous le garderons en nous et tenterons de perpétuer cette amitié comme tu l’aurais voulu.
Adieu Gedso. Un adieu temporaire, car l’on se reverra un jour. Tu n’iras pas trop loin sans nous.
Karim FARÈS
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Voilà que pour toi l’heure du départ a hélas sonné. Tu es parti bien trop tôt, sans avoir eu le temps de profiter de la vie, de l’amour des tiens, de vivre tout simplement…
Ton départ nous a plongés, nous qui t’avons connu et aimé, dans la tristesse et la douleur et suscite dans nos cœurs un sentiment de révolte face à l’injustice de la vie.
Pourquoi toi, pourquoi maintenant ? Nous ne le saurons jamais ni ne le comprendrons. Mais ce qui ne fait pas de doute, c’est que de là où tu es, tu nous vois, nous souris et veilles désormais sur nous.
Tu resteras toujours dans nos mémoires et dans nos cœurs l’incarnation de la bonté, de la générosité, de l’amour et surtout un exemple de courage.
Ta lutte contre la maladie a été une lutte de tous les instants. Même dans les moments où tu étais assailli par...
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