Qu’attendons-nous pour aller rejoindre le Seigneur au désert, et Lui soumettre le Liban et tout pays gémissant sous le joug de l’horreur et de persécution ? Ne nous fions point aux volontés humaines, tissées d’intérêt, de leurre et de mensonge. Malheureusement, la peur et l’incertitude nous rongent,...
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Billet Le rejoindre au désert
Par Georgette MÉDAWAR, le 15 février 2005 à 00h00
Dompter son corps durant le Carême par des privations diverses est bon, voire sanctifiant, mais ce n’est pas l’essentiel. Cette période de l’année est plutôt une station qui nous aide à faire le plein de la conception chrétienne de la souffrance. Le chirstianisme a brisé l’optique païenne sur l’existence humaine en transformant chaque goutte de cette vallée de larmes en une perle salvatrice. Ah ! Si nous pouvions cueillir les fruits du « fiat » et le bannir le « non » destructeur de l’âme et du corps.
Qu’attendons-nous pour aller rejoindre le Seigneur au désert, et Lui soumettre le Liban et tout pays gémissant sous le joug de l’horreur et de persécution ? Ne nous fions point aux volontés humaines, tissées d’intérêt, de leurre et de mensonge. Malheureusement, la peur et l’incertitude nous rongent, deviennent notre pain quotidien. Que faut-il faire ? Lâcher prise ? À Dieu ne plaise !... Allégeons notre pauvre cœur par ces paroles vivifiantes du berger divin : « Ne craignez point, j’ai vaincu le monde. »
Écoutons l’appel du Sauveur dans le désert qui nous invite à nous préparer avec Lui à l’affrontement de la Croix, des tentations, de l’ingratitude et de l’injustice.
Il ne nous reste plus qu’à hâter le pas vers le désert de Jésus, là où sont notre vrai pâturage et notre vrai breuvage, et là où est la source intarissable du bonheur. Dans ce lieu serein, la mort ne nous fait plus trembler, car notre foi en Celui qui est la Résurrection nous amènera à la vie éternelle.
Georgette MÉDAWAR
Dompter son corps durant le Carême par des privations diverses est bon, voire sanctifiant, mais ce n’est pas l’essentiel. Cette période de l’année est plutôt une station qui nous aide à faire le plein de la conception chrétienne de la souffrance. Le chirstianisme a brisé l’optique païenne sur l’existence humaine en transformant chaque goutte de cette vallée de larmes en une perle salvatrice. Ah ! Si nous pouvions cueillir les fruits du « fiat » et le bannir le « non » destructeur de l’âme et du corps.
Qu’attendons-nous pour aller rejoindre le Seigneur au désert, et Lui soumettre le Liban et tout pays gémissant sous le joug de l’horreur et de persécution ? Ne nous fions point aux volontés humaines, tissées d’intérêt, de leurre et de mensonge. Malheureusement, la peur et l’incertitude nous rongent,...
Qu’attendons-nous pour aller rejoindre le Seigneur au désert, et Lui soumettre le Liban et tout pays gémissant sous le joug de l’horreur et de persécution ? Ne nous fions point aux volontés humaines, tissées d’intérêt, de leurre et de mensonge. Malheureusement, la peur et l’incertitude nous rongent,...
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