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Actualités

Expositions Les paysages de Paul Farchakh au Goethe-Institut

Le Goethe-Institut (rue Bliss, Manara) présente, jusqu’au 31 janvier, quelque soixante-dix œuvres à l’huile et à l’aquarelle de Paul M. Farchakh, réunies sous le titre Metamorphosis. Paysagiste, connu principalement pour ses aquarelles claires, tout en jeu d’ombre et de lumière, Paul Farchakh s’est lancé ces trois dernières années dans l’expérimentation de différentes techniques à l’huile. D’où le titre de l’exposition. Reprenant les principaux sujets de sa peinture à l’eau, à savoir les vues traditionnelles de la montagne libanaise, sa nature sauvage, ses anciennes maisons à arcades et à tuiles rouges, ses vieilles pierres, l’artiste les traite à l’huile de façon tantôt réaliste, tantôt impressionniste, géométrique ou abstraite. Il joue aussi parfois de ses touches pour former une sorte de défragmentation de l’image (où l’on retrouve l’œil du cinéaste de formation qu’est Paul Farchakh. Il est d’ailleurs professeur de cinéma à l’Iesav), ou encore avec le couteau en travaillant la texture en relief ou en zébrures. Et intervient même sur la structure de certaines toiles, leur donnant une concavité qui renforce le relief des surfaces géométriques de couleurs frappantes et denses, étalées au couteau. Ces différentes approches donnent donc des peintures diverses, toutes inspirées du paysage libanais – à part une petite série de nus et une autre représentant des personnages emprisonnés dans des abstractions colorées –, qui ont en commun une belle harmonie chromatique. Vive, ensoleillée, lumineuse.
Le Goethe-Institut (rue Bliss, Manara) présente, jusqu’au 31 janvier, quelque soixante-dix œuvres à l’huile et à l’aquarelle de Paul M. Farchakh, réunies sous le titre Metamorphosis.
Paysagiste, connu principalement pour ses aquarelles claires, tout en jeu d’ombre et de lumière, Paul Farchakh s’est lancé ces trois dernières années dans l’expérimentation de différentes...