Hot dog au sens propre: ils voulaient manger du chien pour avoir chaud
Des Hongkongais qui voulaient se réchauffer pendant la vague de froid qui a fait frissonner Hong Kong ce week-end ont voulu se payer un « hot dog » – littéralement un « chien chaud » – au sens propre, ont rapporté lundi la police et la presse.
Une femme a été arrêtée et deux hommes étaient recherchés pour avoir tué un chien et avoir tenté de le manger.
Le trio est accusé d’avoir décapité l’animal, l’avoir dépecé et d’avoir été sur le point de le faire cuire quand il a été surpris par un voisin qui a alerté la police.
Les policiers ont trouvé la tête du chien dans une rue du quartier de Kennedy Town, un réchaud au gaz allumé et la table mise. La tradition chinoise veut que la viande de chien réchauffe le corps mais la loi de Hong Kong interdit de tuer les chiens. Le délit est passible d’une amende de 5 000 dollars de Hong Kong (640 US) et de six mois de prison.
Un croque-mort tue sa vieille tante pour ressusciter son entreprise
Un patron de pompes funèbres a été arrêté pour avoir assassiné sa vieille tante dans l’espoir de sauver, grâce à l’enterrement, son affaire au bord de la faillite, a annoncé hier la police. Nobuhiko Takahashi, 42 ans, a été récemment appréhendé pour avoir battu à mort sa tante, à coups de club de golf, dans un village du nord du Japon en octobre dernier. La victime avait 71 ans. Le meurtrier a avoué le crime quelques jours après son arrestation. « Je pensais que c’est moi qui m’occuperais des funérailles si je tuais tata », a expliqué M. Takahashi, cité par un porte-parole de la police locale.
Il tenait sa boutique de pompes funèbres avec son père, mais ce dernier, tombé malade, étant alité, l’affaire avait périclité. Manque de chance pour lui, c’est une entreprise concurrente qui a obtenu les obsèques de la tante.
Avec près d’un million de décès chaque année, les pompes funèbres sont un marché très lucratif au Japon, estimé à quelque 1 500 milliards de yens (11 mds d’euros) par an. Un marché que se disputent environ 7 000 petites entreprises spécialisées, la plupart familiales. Un enterrement coûte en moyenne 1,5 million de yens, selon l’association nationale des consommateurs.
Un ouvrier agricole jeté en pâture
aux lions par son employeur
Un ouvrier agricole est mort dévoré par les lions, dans le nord de l’Afrique du Sud, après avoir été jeté en pâture dans l’enclos des fauves par son ex-employeur à la suite d’une dispute, a rapporté la police hier. L’employeur a été arrêté lundi sur sa ferme.
D’après les témoignages reçus par la police, Nelson Shisane, 38 ans, a été attaqué et roué de coups lorsqu’il est revenu début février sur la ferme-élevage d’Engedi, d’où il avait été licencié fin 2003 après une querelle avec son patron, a déclaré une porte-parole de la police. « Après les coups, il semble que M. Shisane ait été ligoté, chargé sur un véhicule et transporté 15km plus loin au Mokwalo White Lion Project, où il a été jeté par-dessus un grillage dans l’enclos aux lions. Il aurait été dévoré par les lions », a poursuivi la porte-parole, Ronel Otto.
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