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Actualités - CHRONOLOGIE

BP exclut une crise semblable à celle de Shell

Le géant pétrolier britannique BP a cherché hier à se démarquer de son concurrent Royal Dutch Shell en mettant en avant la fiabilité de son système d’évaluation des réserves prouvées d’hydrocarbures. En janvier, l’anglo-néerlandais Shell avait choqué le marché en annonçant qu’il avait surestimé de 20% ses réserves prouvées d’hydrocarbures. Les analystes avaient alors craint que ce ne soit que la première d’une série de réévaluations des réserves des grands groupes pétroliers. Toute modification des réserves de 25 millions de barils ou plus, proposée par les branches locales, est soumise à l’autorisation d’une équipe centrale indépendante de ces unités, a-t-il expliqué. S’abstenant de tout commentaire sur les mésaventures de Shell, le patron de BP s’est toutefois indirectement attardé à se démarquer de son confrère. La décentralisation de Shell a été citée par les analystes comme l’une des causes de la surévaluation des réserves du groupe anglo-néerlandais, car elle aurait permis à plusieurs filiales d’exagérer l’ampleur des réserves sans grand contrôle de la maison mère.
Le géant pétrolier britannique BP a cherché hier à se démarquer de son concurrent Royal Dutch Shell en mettant en avant la fiabilité de son système d’évaluation des réserves prouvées d’hydrocarbures. En janvier, l’anglo-néerlandais Shell avait choqué le marché en annonçant qu’il avait surestimé de 20% ses réserves prouvées d’hydrocarbures. Les analystes avaient alors craint que ce ne soit que la première d’une série de réévaluations des réserves des grands groupes pétroliers.
Toute modification des réserves de 25 millions de barils ou plus, proposée par les branches locales, est soumise à l’autorisation d’une équipe centrale indépendante de ces unités, a-t-il expliqué.
S’abstenant de tout commentaire sur les mésaventures de Shell, le patron de BP s’est toutefois indirectement attardé...