À quoi attribuer le fait que tous les conducteurs de deux-roues semblent absolument persuadés que le code de la route ne les concerne pas, sinon à la « tolérance » excessive de ceux qui ont la charge de maintenir l’ordre ?
Et la présence du portable collé en permanence à l’oreille d’aimables personnes au volant, dont l’aptitude à conduire est souvent inversement proportionnelle à la taille de leur véhicule, relève-t-elle du même laisser aller ?
Et le daltonisme chronique dont sont atteints nos automobilistes face aux feux de signalisation fait-il partie de nos constantes nationales ?
Au-delà du respect de la loi, c’est celui des autres qui fait défaut !
Nagib Baroudi
À quoi attribuer le fait que tous les conducteurs de deux-roues semblent absolument persuadés que le code de la route ne les concerne pas, sinon à la « tolérance » excessive de ceux qui ont la charge de maintenir l’ordre ?
Et la présence du portable collé en permanence à l’oreille d’aimables personnes au volant, dont l’aptitude à conduire est souvent inversement proportionnelle à la taille de leur véhicule, relève-t-elle du même laisser aller ?
Et le daltonisme chronique dont sont atteints nos automobilistes face aux feux de signalisation fait-il partie de nos constantes nationales ?
Au-delà du respect de la loi, c’est celui des autres qui fait défaut !
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