Dans un communiqué, M. Hélou a estimé « inconcevable que le Premier ministre boycotte le président de la République, lequel est, selon la Constitution, le chef de l’État, le symbole de l’unité du pays et le gardien de la Constitution ».
« Comment une partie de l’État peut-elle boycotter le chef de l’État ? C’est comme si nous vivions sous la loi de la jungle ou comme si l’État était un ensemble de boutiques indépendantes l’une de l’autre », a indiqué M. Hélou, en souhaitant que « les informations qui ont circulé à ce sujet dans les médias soient fausses ».
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