Selon un communiqué publié par le bureau de presse de M. Hariri, la discussion a porté sur « les rapports entre le Liban et la Banque mondiale sous tous leurs aspects ».
MM. Hariri et Siniora ont sans doute exposé à leur hôte les efforts fournis par l’État pour assainir ses finances, du moment que le Liban compte particulièrement sur l’aide et la caution de la Banque mondiale pour restructurer sa dette publique. Cette réunion intervient cependant au moment où le Liban donne toujours des signes de difficultés à aller de l’avant dans le programme de réformes financières auquel il s’était engagé à la conférence de Paris II. Le dossier de la privatisation de la téléphonie mobile, qui constitue un des axes de cette réforme, en est le parfait exemple.
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