Les relations entre les numéros 2 et 3 de l’État s’étaient quelque peu détériorées après la formation du nouveau gouvernement.
Le ministre a relevé que l’absence d’entretiens entre les deux dirigeants a donné lieu à diverses interprétations alors qu’il n’y a aucun problème entre eux. « Des divergences de vues apparaîtraient sur certains points, ce qui est somme toute très normal », a indiqué M. Khalil.
Il a quand même affirmé qu’il ne se fait pas d’illusions au sujet du possible règlement des conflits politiques, estimant qu’il ne faut pas avoir peur de procéder à un vote en Conseil des ministres.
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