À deux mois du retrait israélien annoncé, le Liban-Sud n’a jamais été aussi divisé. D’un côté, des gens attendant impatiemment de revoir une région devenue zone interdite depuis plus de 20 ans et de l’autre, des habitants anxieux de l’avenir. D’ailleurs, dans les rues des villages de la bande occupée, les passants se font rares et les visages sont tristes. La libération prochaine ne semble pas une perspective joyeuse et l’impressionnant monument érigé à la gloire de l’ALS sur une colline de Kharbé vient attester la complexité de la situation. Et pour rendre les choses encore plus étranges, Israël n’a pas commencé à édifier son mur électronique le long de la frontière. C’est comme si rien ne presse ou alors que l’on s’attend à certains développements... Les soldats israéliens poursuivent normalement leurs patrouilles et les soldats de l’ALS sont encore postés aux barrages. Alors, que se passe-t-il au Sud ? Les habitants sont les derniers à le savoir.
À deux mois du retrait israélien annoncé, le Liban-Sud n’a jamais été aussi divisé. D’un côté, des gens attendant impatiemment de revoir une région devenue zone interdite depuis plus de 20 ans et de l’autre, des habitants anxieux de l’avenir. D’ailleurs, dans les rues des villages de la bande occupée, les passants se font rares et les visages sont tristes. La...
Les plus commentés
Don européen : qui dira quoi lors de la séance parlementaire du 15 mai ?
Le temps des engourdis
Bilan de sept mois de guerre : 1,5 milliard de dollars de dégâts et plus de 350 morts