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Actualités - REPORTAGE

ECHOS DE PARIS(PHOTO)

par Élie MASBOUNGI « Ana Ma Fiyyeh »... Najwa Karam a réussi son pari azuréen. C’est-à-dire chanter et danser le Liban, ses « Mawal » et « Dabké » en gala unique, vendredi dernier, sur la prestigieuse piste de la salle des Étoiles du Sporting d’été de Monaco. La star libanaise a plutôt ébloui qu’ému une assistance en majorité étrangère qui ne comprenait pas le texte et se contentait de suivre les percussionnistes en tapant des mains. Dispersés dans l’immense salle, les Libanais et autres Arabes venus de tous les coins de la Côte d’Azur n’ont pu communiquer leur enchantement aux néophytes et les crépitements de la « derbakké » n’ont visiblement pas fait assez d’effet. Mais Najwa et sa troupe de 14 musiciens n’ont pas démérité. Malgré la sono inadéquate, l’absence de la grosse caisse, le fameux « tabl », et en dépit de l’anticipation du « finale » – probablement en raison du feu d’artifice promis pour minuit pile –, ils ont été très applaudis. Mais il a fallu pour cela que la chanteuse interprête ses gros tubes : Ana ma fiyyeh, Ya habayeb, Achika et autres Mijana célèbres. Le Liban, conté cet été par Najwa Karam, n’en était pas à sa première apparition sur la piste des étoiles puisque le copromoteur du spectacle, Toros Siranossian, avait déjà présenté en ces mêmes lieux Nawal Zoghbi en 2001 et la troupe de Caracalla en août 2000. Autre hommage à rendre à Najwa Karam. Elle a assumé son vedettariat et assuré son talent face à un des publics les plus difficiles du monde. « Je me sens comme une partie du Liban venue chanter sur le toit du monde. » En fait, une étoile de chez nous venue pour une nuitée... L’auto-casse du jeune Libanais de la Croisette Consternation et incrédulité dans les milieux libanais de Cannes suite à l’arrestation du jeune Libanais M.C., héritier d’une grande maison de bijouterie et de haute horlogerie soupçonné d’auto-cambriolage vite découvert par la police. L’affaire a été rapportée la semaine dernière dans l’édition cannoise de Nice-Matin qui expliquait que le coauteur du casse de la bijouterie (située dans un grand palace de la Croisette) n’était autre qu’un employé – et probablement compagnon de loisirs – du jeune « patron ». Un récidiviste fiché pour avoir « raté » le cambriolage de son propre appartement dans l’espoir de se faire payer par ses assureurs. Selon des amis du jeune homme pourtant connu pour son sérieux et sa situation plus que confortable, il se serait laissé influencer par un groupe de jeunes. Au point de changer complètement de look. Jusqu’au rasage du crâne, selon la mode de la jeunesse dorée d’aujourd’hui. Selon les milieux policiers cités par Nice-Matin, les bijoux d’une valeur de 60 000 euros (somme dérisoire par rapport au train de vie du jeune Libanais) ont été cachés en lieu sûr avant la déclaration du faux cambriolage à la police. Le butin aurait été retrouvé, le pot-aux-roses découvert et les deux jeunes gens écroués. Cynthia Sarkis, amie des stars Cynthia Sarkis-Perroz a eu la semaine dernière les honneurs de Nice-Matin avec un deux colonnes photo qui la qualifie d’amie des stars et vante ses qualités d’organisatrice d’événements. Le dernier en date : un grand gala au Papagayo de Saint-Tropez, hier lundi. Avec mille invités pour découvrir les derniers modèles de « Nomade & Co », un téléphone portable haut de gamme et personnalisé. À propos de notre compatriote, l’auteur de l’article écrit notamment : « À Cannes, cette Libanaise travaille sans renier ses origines : au bord de l’eau, en considérant la plage comme un espace de vie sous toutes ses formes et pas seulement de loisir. » Présences royale et princière sur mer... En rade de Cannes, la flotte des familles régnantes de la péninsule Arabique est depuis la semaine dernière au grand complet, le seul yacht manquant à l’appel étant celui d’Al-Walid ben Talal. Avec les deux unités de l’émir Mohammed ben Fahd (le Montcaje, 75 mètres, et le Noura of Ryadh, 45 mètres, le yacht-escorteur de cheikh Nasser al-Rashid (le Lady Moura, 110 mètres), le yacht-croiseur du prince Saoud ben Nayef, le All Seven, et une demi-douzaine de bateaux et voiliers de moindre tonnage, cette armada pacifique témoigne de l’engouement des princes des Mille et Une Nuits pour leur côte méditerranéenne favorite. ... Et sur terre Côté terre, les plus grands se montrent plus discrets sans pour autant passer inaperçus. L’émir Talal ben Abdel-Aziz, arrivé la semaine dernière, dînait en famille dans son palace favori, le Majestic, en compagnie, notamment, de son fils Mansour qui adore, semble-t-il, les spécialités de la maison servies également dans le nouveau Fouquet’s. Retrouvailles familiales intimes Grande soirée de retrouvailles familiales saisonnières chez Mmes Rabab et Malak Rabbath dans leur double villa de Juan-les-Pins. Une centaine d’invités venus des quatre coins du monde et représentant trois générations de parents, alliés et amis. Deux orchestres, quatre chanteurs et une danseuse orientale après minuit. Buffets oriental et français somptueux, tout à la hauteur de l’événement.. et du budget. Parmi les invités, le gouverneur de la Banque du Liban et Mme Riad Salamé, le président Adnan et Mme Raëda Kassar, Mme Raya Daouk, Mme Abdel-Halim Khaddam, M. et Mme Naaman Azhari, Me Roger Eddé, M. et Mme Yahya Ghandour, M. et Mme Hani Zaki al-Yamani, May Bohsali (sans Jimmy) et d’autres noms vacanciers haut de gamme de chez nous et des pays frères.
par Élie MASBOUNGI « Ana Ma Fiyyeh »... Najwa Karam a réussi son pari azuréen. C’est-à-dire chanter et danser le Liban, ses « Mawal » et « Dabké » en gala unique, vendredi dernier, sur la prestigieuse piste de la salle des Étoiles du Sporting d’été de Monaco. La star libanaise a plutôt ébloui qu’ému une assistance en majorité étrangère qui ne comprenait pas le texte et...