Au moins vingt personnes ont été tuées dans la nuit de dimanche à lundi dans un bidonville de Nairobi où les membres d’une secte interdite ont mené une opération de représailles pour venger la mort de trois des leurs, ont indiqué lundi la police et des habitants. Des affrontements se poursuivaient lundi matin entre policiers et membres de la secte dans le bidonville de Kariobangi, dans le nord-est de la capitale kenyane, a constaté un photographe sur place. Vingt-huit personnes ont été hospitalisées, a indiqué le chef de la police locale, Geoffrey Mwathe. Selon des habitants cités par la radio privée Nation, des membres de la secte Mungiki, issus majoritairement de l’ethnie Kikuyu, armés de machettes, de bâtons et de houes, ont attaqué dans la nuit des bars appartenant à des membres de l’ethnie Luo.
Au moins vingt personnes ont été tuées dans la nuit de dimanche à lundi dans un bidonville de Nairobi où les membres d’une secte interdite ont mené une opération de représailles pour venger la mort de trois des leurs, ont indiqué lundi la police et des habitants. Des affrontements se poursuivaient lundi matin entre policiers et membres de la secte dans le bidonville de Kariobangi, dans le nord-est de la capitale kenyane, a constaté un photographe sur place. Vingt-huit personnes ont été hospitalisées, a indiqué le chef de la police locale, Geoffrey Mwathe. Selon des habitants cités par la radio privée Nation, des membres de la secte Mungiki, issus majoritairement de l’ethnie Kikuyu, armés de machettes, de bâtons et de houes, ont attaqué dans la nuit des bars appartenant à des membres de l’ethnie Luo.