Une des œuvres majeures et des plus populaires du répertoire lyrique, La Traviata de Verdi (dont on commémore cette année le centenaire de la mort) a fait les délices des Libanais du bel canto au théâtre du Casino du Liban. Plus de 145 musiciens, chanteurs et techniciens de la scène venus en droite ligne d’Érévan pour dire avec un certain faste et beaucoup d’émotion les amours tumultueuses et tragiques de Violetta et Alfredo. D’un romantisme vénéneux, oscillant entre drame passionnel et étude de mœurs, cette dame aux camélias, aux couleurs somptueusement verdiennes, a conquis l’auditoire par une orchestration riche et en demi-teintes, des airs dépouillés et de belles envolées propres au style italien.
Une des œuvres majeures et des plus populaires du répertoire lyrique, La Traviata de Verdi (dont on commémore cette année le centenaire de la mort) a fait les délices des Libanais du bel canto au théâtre du Casino du Liban. Plus de 145 musiciens, chanteurs et techniciens de la scène venus en droite ligne d’Érévan pour dire avec un certain faste et beaucoup d’émotion les...
Les plus commentés
Don européen : qui dira quoi lors de la séance parlementaire du 15 mai ?
Le temps des engourdis
Bilan de sept mois de guerre : 1,5 milliard de dollars de dégâts et plus de 350 morts