Actualités - CHRONOLOGIE
L'énigme de la migraine
Par GEBEYLI Claire, le 06 juillet 1999 à 00h00
Quand le mal de tête survient par crises qui durent de 4 à 72 heures et qu’entre les accès nul trouble ne fait soupçonner un état pathologique quelconque, on se trouve dans la majorité des cas confrontés à une migraine chronique. Elle débute d’un seul côté mais peut se propager par la suite. Le mal «bat» dans la tête, s’accompagnant de nausées, de vomissements, une intolérance au bruit et à la lumière. Le malaise peut être assez généralisé pour forcer la personne atteinte à s’aliter. Très fréquemment, les sujets migraineux ont d’autres cas semblables dans leur famille. L’état décrit plus haut est le résultat d’une perturbation des vaisseaux sanguins, manifestée par des dilatations brutales suite à des contractions. C’est là cependant où s’arrête la connaissance d’un processus qui reste encore à découvrir. En conséquence, le traitement ne peut être que palliatif et il importe quel que soit le médicament prescrit de le prendre le plus rapidement possible avant que la douleur ne s’installe. Les crises tenaces et violentes sont soignées par des antidouleurs spécifiques, agissant sur le trouble circulatoire responsable de la crise. Sans présenter de gravité particulière, la migraine chronique peut être invalidante dans la vie quotidienne à cause de ses crises.
Quand le mal de tête survient par crises qui durent de 4 à 72 heures et qu’entre les accès nul trouble ne fait soupçonner un état pathologique quelconque, on se trouve dans la majorité des cas confrontés à une migraine chronique. Elle débute d’un seul côté mais peut se propager par la suite. Le mal «bat» dans la tête, s’accompagnant de nausées, de vomissements, une...
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