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Actualités - REPORTAGES

Ce qu'il faut savoir

* Dans quel contexte on prélève et qui est potentiellement donneur ? Est donneur tout individu qui, pour une raison déterminée, se trouve en état de mort cérébrale mais dont le corps est resté en état de survie, c’est-à-dire dont le cœur bat toujours et dont les organes vitaux. (rein, foie poumons) sont encore fonctionnels. * Dans quels cas peut-on parler de mort cérébrale ? Il s’agit de personnes qui ont subi un traumatisme cérébral (ou qui ont été victimes d’une hémorragie cérébrale), ce qui a occasionné des dégâts au niveau du cerveau, donc un traumatisme qui a entraîné la mort de cet organe. Il est important de savoir que dans le cas de mort cérébrale, la survie ne dépasse pas 72 heures. La mort surviendra immanquablement au bout de trois jours. * Conséquences d’une mort cérébrale : — La mort cérébrale débouche sur une altération progressive des autres organes parce qu’il y a des modifications végétatives, lesquelles se traduisent essentiellement par un arrêt cardiaque. — Dès que le cœur s’arrête, tous les autres organes cessent de fonctionner. Car c’est le cœur qui assure la distribution du sang dans le corps et l’irrigation des organes. — Donc c’est immédiatement avant l’arrêt que le prélèvement d’organe doit se faire, et il faut essayer d’effectuer une telle opération avant l’arrêt définitif des battements cardiaques.
* Dans quel contexte on prélève et qui est potentiellement donneur ? Est donneur tout individu qui, pour une raison déterminée, se trouve en état de mort cérébrale mais dont le corps est resté en état de survie, c’est-à-dire dont le cœur bat toujours et dont les organes vitaux. (rein, foie poumons) sont encore fonctionnels. * Dans quels cas peut-on parler de mort cérébrale ? Il...