Actualités - CHRONOLOGIE
Pietragalla, phalène dans le ciel de Beiteddine
Par S. N., le 18 juillet 1998 à 00h00
Etoile de la danse, Marie-Claude Pietragalla a brillé hier sur la scène du palais de Beiteddine. Rayonnante, la Pietra, qui vient de remplacer Roland Petit à la direction des Ballets de Marseille, sait se glisser dans la peau de ses différents «rôles» avec une égale harmonie, une énergie et une grâce sans cesse renouvelées. Comme entrée, Don Quichotte, sur l’indémodable chorégraphie de Marius Petipa. Puis cinq morceaux de bravoure de genres variés: les Indomptés; In the middle somewhat elevated; D. Triana - A. Savilla et Roméo et Juliette. Et, enfin, Corsica, que Marie-Claude Pietragalla a, elle-même, chorégraphiée, pour l’interpréter avec les «Solistes de Paris», un groupe de neuf qu’elle a fondé, il y a quatre ans, et dont sept étaient présents. Présentée par Eve Ruggieri, la soirée s’est déroulée sous un ciel étoilé. Imprimant sur la mémoire des spectateurs, à coups d’arabesques et de pirouettes éthérées, un message d’amour... Du ballet classique le plus pur aux mouvements saccadés aux accents de break-dance, en passant par le folklorique, le flamenco et les rondes enfantines... Pietragalla et ses «Solistes» ont offert au public venu nombreux un véritable moment d’euphorie. Si vite passé...
Etoile de la danse, Marie-Claude Pietragalla a brillé hier sur la scène du palais de Beiteddine. Rayonnante, la Pietra, qui vient de remplacer Roland Petit à la direction des Ballets de Marseille, sait se glisser dans la peau de ses différents «rôles» avec une égale harmonie, une énergie et une grâce sans cesse renouvelées. Comme entrée, Don Quichotte, sur l’indémodable...
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