Actualités - CONFERENCES ET SEMINAIRES
Congrès médical sur la prévention des accidents
le 12 mai 1998 à 00h00
Le coup d’envoi des travaux d’un congrès médical sur le thème de «La prévention des accidents chez les enfants et les adolescents» a été donné hier à la faveur d’une cérémonie qui a eu lieu à la Faculté de médecine de l’USJ en présence de médecins représentant des organisations internationales, en l’occurrence l’OMS et l’Association des pédiatres francophones. Dans une allocution de circonstance, le doyen de la Faculté de médecine de l’USJ, le Dr Carlo Akatchérian, a souligné l’importance pour le Liban de la tenue d’un tel congrès qui traite d’un sujet qui constitue la deuxième cause de décès des enfants dans notre pays. Il a affirmé que notre société néglige dans une large mesure les enfants oubliant de les protéger et les exposant par conséquent d’une manière permanente aux dangers avant d’insister sur le fait que les enfants du Liban sont en train de payer le prix de cette négligence. A son tour, l’ambassadeur de France au Liban, M. Daniel Jouanneau, a insisté sur l’importance de ce congrès qui permettra aux Libanais et aux Français de réfléchir sur un thème qui les préoccupe, affirmant par ailleurs que l’assistance de la France ne se limite pas à l’organisation de séminaires pour les médecins et de stages de formation des infirmières, mais englobe des opérations de jumelage entre les hôpitaux. 22 établissements hospitaliers bénéficient aujourd’hui des opérations de jumelage entre des hôpitaux libanais et français.
Le coup d’envoi des travaux d’un congrès médical sur le thème de «La prévention des accidents chez les enfants et les adolescents» a été donné hier à la faveur d’une cérémonie qui a eu lieu à la Faculté de médecine de l’USJ en présence de médecins représentant des organisations internationales, en l’occurrence l’OMS et l’Association des pédiatres...
Les plus commentés
Après Bou Saab, Alain Aoun : la démarche de limogeage mise sur les rails
Oussama Hamdane : Nous avons accepté l’accord de trêve sans renoncer à nos constantes
Billets froissés, déchirés ou tachés : ces dollars dont personne ne veut au Liban