Dans une déclaration à la presse, M. Farès a rappelé que «le gouvernement affirmait jusqu’à présent qu’il n’y avait aucune raison de s’inquiéter car la majorité de ses dettes était d’ordre interne et la dette extérieure ne représentait qu’une faible proportion du total».
«Aujourd’hui, le gouvernement inverse l’équation et le peuple n’a plus d’autre alternative que de se demander à quelle politique financière il doit se fier», a ajouté M. Farès.
«Discuter de l’identité de la dette est inutile puisqu’une dette est une dette», a encore dit M. Farès.
Le député du Akkar a par ailleurs estimé que «le plus important pour le gouvernement est d’adopter le plus vite possible des mesures concrètes afin de réduire les dépenses, d’améliorer la perception, d’accroître la production et de préserver les deniers publics».
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