Etaient présents les anciens premiers ministres, Amine el-Hafez et Chafic Wazzan, les ministres Bahije Tabbarah, Mahmoud Abou-Hamdan, Béchara Merhej, Bassem el-Sabeh, Chahé Barsoumian, Elias Hanna et Farouk Barbir, de nombreux députés et personnalités supérieurs généraux, de nombreux journalistes ainsi que des représentants de différentes associations sociales libanaises.
Dans un mot de circonstance Mgr Matar a commencé par dresser un rapide bilan «des actions caritatives et éducationnelles menées par l’archevêché de la capitale bien avant que prenne corps le Liban politique».
«Ces réalisations qui ont illuminé l’histoire de notre pays, a-t-il dit, nous souhaitons les voir se poursuivre à l’ombre de notre état moderne et qu’elles puissent s’intégrer parfaitement dans le cadre de ses structures organisationnelles et sociales».
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