Comme chaque année, l’arrivée de l’automne souligne la fragilité d’une infrastructure en cours de remplacement. Des pannes électriques, des coupures du téléphone, des éboulements de terrain en montagne, des inondations dans les quartiers populeux, mal équipés pour faire face aux eaux de ruissellement, sont les lots habituels de ce genre de manifestation climatique. Cette année, la foudre a fait une nouvelle victime: une station relais de la société Cellis destinée à permettre l’entrée en service d’un nouveau service de messagerie écrite.
A ces dégâts techniques s’ajoutent ceux que les vents et les pluies infligent aux secteur de la pêche et de l’agriculture. La récolte de pommes est particulièrement sensible aux vents. Les propriétaires de vergers s’y connaissent d’ailleurs. En effet, les commerçants ne pointent, dans les régions de montagne, qu’après les premières bourrasques sérieuses. Par contre, les pluies irriguent de nombreux vergers assoiffés par un été qui a commencé très tôt cette année.
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