Le PSP a affirmé dans un communiqué, refuser en particulier l’augmentation de 20% des anciens loyers, ainsi que l’indexation des loyers sur un indice d’inflation annuel établi par la BDL. Le PSP voit dans cette dernière mesure la voie vers la libération progressive des baux, une mesure prématurée dans l’état actuel du marché de l’immobilier, et à l’heure où le problème des déplacés est toujours en suspens. En outre, souligne le PSP, les rajustements de salaires ne se font pas tous les ans, alors que l’incide d’inflation sera annuel.
Par ailleurs, le PSP estime que l’indexation des baux sur les majorations au titre de la vie chère, à hauteur de 50% de cette majoration, ont entraîné une hausse des loyers à laquelle les catégories à revenu limité ne peuvent plus faire face.
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