Parmi les députés qui ont rejoint le mouvement de soutien à cette radio «qui a fait ses preuves durant de longues années et a servi l’unité nationale», on compte Elias Skaff, Nabil Boustani, Abdallah Kassir, Mohammad Raad, Ibrahim Bayan, Samir Azar et Ammar el-Moussaoui.
Par ailleurs, des représentants de différents mouvements politiques et associations populaires de la banlieue-sud de la capitale ont tenu une réunion consacrée à l’étude des différentes démarches à entreprendre afin d’amener les autorités compétentes à revoir leur décision, non seulement en faveur de «La Voix de Beyrouth» mais aussi en faveur de toutes les radios et télévisions à qui on a refusé une licence d’émettre bien que leur dossier réponde au cahier des charges.
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