La séance de travail de la matinée a été consacrée à la nouvelle loi libanaise sur l’arbitrage.
M. Chafic Wazzan, ancien président du Conseil, a indiqué lors de son intervention que «le législateur libanais a refusé à la personne morale le droit d’être arbitre indiquant par là sa volonté de réserver une telle fonction à la personne physique qui inspire, de loin, la confiance aux protagonistes».
M. Wazzan a parlé aussi de la volonté du législateur libanais de ne pas tenir compte de la nationalité de l’arbitre, accordant par là à un étranger le droit de jouer un tel rôle.
M. Mohammad Amine Daouk, président de l’Association libanaise d’arbitrage a, pour sa part, indiqué que «la législation libanaise, contrairement à la française, oblige les arbitres à se conformer au code de procédure libanais».
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