«Un tel média, a dit cheikh Kabalan, serait chargé de mettre au point une politique d’information musulmane et de préciser les orientations à suivre dans l’intérêt de l’unité nationale et en vue de l’édification d’un Etat contemporain où la religion deviendrait un outil de coopération et d’amour et non point un moyen de provoquer des dissensions».
Sur un autre plan, cheikh Kabalan a appelé l’Etat à «tenir ses promesses au Akkar et dans la Békaa» et à «entamer l’exécution des projets de développement». «L’Etat se doit d’assumer fidèlement ses responsabilités nationales», a-t-il affirmé.
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