Dans un communiqué publié hier à ce sujet, le député du Akkar a notamment déclaré: «Si seulement le gouvernement avait consenti à créer le conseil économique et social, il aurait économisé un temps considérable au pays».
Et M. Farés de rappeler les solutions qu’il avait préconisées durant les deux dernières années, en l’occurrence: mettre fin à la politique d’endettement et d’impositions à outrance, contrôler le gaspillage, et remédier au problème de la corruption au sein de l’administration...
Le député a en outre estimé que la reconstruction de l’infrastructure ne remplace pas la politique de développement qui implique la création de petites entreprises dans les régions, la modernisation de l’agriculture et la dynamisation du commerce.
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