Au terme de cette visite, M. Abou-Rizk a déclaré qu’elle s’inscrit dans le cadre d’une tournée des différentes instances religieuses et politiques en vue de faire le point de la situation socio-économique.
M. Abou-Rizk devait, par ailleurs, mettre en garde contre l’aggravation de la dette publique, tant intérieure qu’extérieure, soulignant que les sommes prêtées sont affectées, en partie, au financement de projets non productifs, le reste étant gaspillé. Sur un autre plan, un porte-parole responsable du Parti socialiste progressiste a estimé hier que la décision de déférer en justice M. Abou-Rizk est une décision politique plutôt que judiciaire. Cette décision, a-t-il ajouté, constitue un «précédent (...) susceptible de priver les institutions démocratiques ainsi que les organismes populaires et syndicaux du droit d’exprimer leur opinion, en les soumettant à une menace permanente (...)».
Le porte-parole a conclu en demandant que cette affaire, qui est en premier lieu politique, soit classée.
Les plus commentés
Après Bou Saab, Alain Aoun : la démarche de limogeage mise sur les rails
Derrière la visite de Walid Boukhari à Meerab
Le Hamas accepte une proposition de cessez-le-feu qataro-égyptienne, Israël la juge "adoucie et inacceptable" : jour 213 de la guerre de Gaza