«Il reste, a poursuivi M. Chédid, que nous ne nous plaçons pas au-dessus de la loi et que nous nous plierons donc à la décision du Conseil constitutionnel même si elle est injuste. Nous laisserons donc au peuple et aux électeurs la chance de procéder une nouvelle fois et avec plus de détermination aux choix de son représentant au Parlement».
Interrogé par ailleurs au téléphone par «L’Orient-Le Jour», M. Chédid a réitéré son point de vue selon lequel la décision du Conseil constitutionnel «comporte beaucoup d’erreurs», qu’elle est basée sur «de nombreuses suppositions» et qu’elle «va à l’encontre de certaines réalités».
En réponse à une question portant sur ses alliances électorales, M. Chédid a indiqué qu’il était encore trop tôt pour évoquer cette question. Il a toutefois laissé entendre qu’il pourrait maintenir ses alliances (avec le Hezbollah) de l’été dernier.
Le recours en invalidation du mandat de M. Chédid avait été présenté par M. Robert Ghanem.
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