l — A propos de déplacés, on note avec satisfaction que, selon le PSP, c’est seulement le manque de sous qui en retarde le retour. Une idée pour s’en procurer: reprendre à ceux qui les ont si mal utilisés les 400 millions de dollars vaporisés comme déodorant, au titre que l’argent n’a pas d’odeur. On peut même ajouter à l’adresse des incorrigibles coureurs de fonds: qu’est-ce qu’il leur faut...
l — Celui qui pense que Farès Boueiz est le chef de la diplomatie locale a tout faux. C’est Hariri. Moubarak, il l’avait vu bien avant Boueiz. Et il est douteux que ce dernier se rende au Turkmenistan. Quel intérêt peut-on y trouver? Sur le plan public, très peu...
l — Un qui n’a peu de rien, c’est Chaabane. Un autre que la justice n’effraie pas, c’est Toufayli. Tous deux fulminent, se répandent en menaces contre le pouvoir et l’Etat. Pour beaucoup moins que cela, des tractistes aounistes en ont bavé tant et plus dans les rest houses Dalloul ou d’ailleurs. Encore heureux qu’on ne les ait pas pendus haut et court pour mieux les honorer: ceux qui partent les premiers ne sont-ils pas les meilleurs...
J.I.
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