M. Boustani s’est demandé dans ce cadre si le gouvernement a payé des indemnités à ces réfugiés avant de prendre «cette décision dangereuse et inhumaine». Et le député de poursuivre: «L’Etat est-il conscient de la réaction que pourraient avoir les déplacés si cette résolution venait à être appliquée? Réalise-t-il que l’oppression conduirait à des prises de position négatives dont on ne peut prévoir l’ampleur et les conséquences?»
En conclusion, le député du Chouf a demandé au gouvernement de revenir sur sa décision et de laisser au ministère des Déplacés le soin de «protéger le réfugié qui occupe malgré lui les propriétés des autres».
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