Mehmet Esirgen, âgé de 52 ans, vivant à Tekirdag, sur la mer de Marmara (nord-ouest), qui se plaignait d’impuissance, a acheté un âne, lui a coupé le pénis et s’est rendu à l’hôpital de la ville pour demander une greffe de l’organe de l’animal sur lui-même.
Déçu par le refus des médecins qui lui ont patiemment expliqué qu’il était impossible de placer sur un homme le pénis d’un âne, Mehmet Esirgen a acheté ... un second âne.
Il lui a également coupé l’organe sexuel, l’a congelé cette fois dans un réfrigérateur puis s’est rendu à Ankara pour demander l’aide du ministère de la Santé qui lui a été bien entendu refusé, soulignent les journaux.
Persévérant dans sa recherche de ses prouesses passées, Mehmet Esirgen s’est porté acquéreur d’un troisième âne, mais rentré à Tekirdag, sa famille s’est alors chargée de défendre le pénis de la nouvelle bête.
L’un des six enfants du retraité, Ilker Esirgen, 22 ans, s’est emparé d’un fusil de chasse et a tiré blessant son père à la jambe.
«Depuis longtemps, j’avais des problèmes sexuels et j’ai dépensé en vain toute mon allocation de retraité pour les surmonter», a déclaré Mehmet Esirgen aux journaux d’Ankara, selon lesquels le retraité est à la recherche d’un quatrième âne.
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