Le ministre de l’Education, M. Jean Obeid, a rappelé que le Conseil des ministres a simplement «demandé» aux écoles privées de s’abstenir d’encaisser immédiatement des parents d’élèves une quelconque augmentation des frais de scolarité. Il a précisé à ce sujet qu’aucun «ordre» n’a été donné dans ce sens.
Dans une conférence de presse qu’il a tenu hier, M. Obeid a en outre indiqué que le Conseil des ministres avait accepté de prolonger le délai de la présentation des budgets.
«Nous ne cherchons pas à piéger ces établissements, a-t-il ajouté. Bien au contraire, nos enfants sont répartis entre les écoles publiques et privées. D’autre part, nous sommes responsables de l’application du droit et de la loi 515 en particulier qui régit le budget scolaire et les majorations des écolages», a-t-il dit.
Affirmant d’autre part que la direction de l’enseignement privé et l’inspection centrale ont commencé à s’assurer du bien-fondé des augmentations demandées par les différents établissements scolaires, le ministre de l’Education a poursuivi: «Nous prendrons en considération les conclusions de l’enquête pour restituer une partie des écolages s’il s’avère qu’ils ne sont pas justifiés. Nous déférerons aussi les contrevenants devant la justice». Et d’ajouter: «Les inspecteurs ont commencé dès hier leur travail. Etant au nombre de 25 nous leur avons demandé de s’activer l’avant et l’après-midi car c’est le citoyen qui est concerné par l’augmentation et qui paye de sa poche aux enseignants et aux écoles. Nous ne cherchons pas à faire de la démagogie», a-t-il déclaré avant d’ajouter: «Nous déciderons au cas par cas si les majorations sont justifiées ou non et les tribunaux d’arbitrage trancheront après l’inspection».
Par ailleurs, prié de commenter les propos du président libyen, Moammar Kadhafi, qui avait appelé les chrétiens du Liban à se convertir à l’islam, M. Obeid a notamment affirmé que «l’arabité existait avant le christianisme et avant l’islam».
Dans une conférence de presse qu’il a tenu hier, M. Obeid a en outre indiqué que le Conseil des ministres avait accepté de prolonger le délai de la présentation des budgets.
«Nous ne cherchons pas à piéger ces établissements, a-t-il ajouté. Bien au contraire, nos enfants sont répartis entre les écoles publiques et privées. D’autre part, nous sommes responsables de l’application du droit et de la loi 515 en particulier qui régit le budget scolaire et les majorations des écolages», a-t-il dit.
Affirmant d’autre part que la direction de l’enseignement privé et l’inspection centrale ont commencé à s’assurer du bien-fondé des augmentations demandées par les différents établissements scolaires, le ministre de l’Education a poursuivi: «Nous prendrons en considération les conclusions de l’enquête pour restituer une partie des écolages s’il s’avère qu’ils ne sont pas justifiés. Nous déférerons aussi les contrevenants devant la justice». Et d’ajouter: «Les inspecteurs ont commencé dès hier leur travail. Etant au nombre de 25 nous leur avons demandé de s’activer l’avant et l’après-midi car c’est le citoyen qui est concerné par l’augmentation et qui paye de sa poche aux enseignants et aux écoles. Nous ne cherchons pas à faire de la démagogie», a-t-il déclaré avant d’ajouter: «Nous déciderons au cas par cas si les majorations sont justifiées ou non et les tribunaux d’arbitrage trancheront après l’inspection».
Par ailleurs, prié de commenter les propos du président libyen, Moammar Kadhafi, qui avait appelé les chrétiens du Liban à se convertir à l’islam, M. Obeid a notamment affirmé que «l’arabité existait avant le christianisme et avant l’islam».
Le ministre de l’Education, M. Jean Obeid, a rappelé que le Conseil des ministres a simplement «demandé» aux écoles privées de s’abstenir d’encaisser immédiatement des parents d’élèves une quelconque augmentation des frais de scolarité. Il a précisé à ce sujet qu’aucun «ordre» n’a été donné dans ce sens.Dans une conférence de presse qu’il a tenu hier,...
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