Le chef du gouvernement, M. Rafic Hariri, a déclaré qu’il ne prendra pas part à la «polémique» qui oppose depuis plusieurs jours le président de la République, M. Elias Hraoui, et le chef du Parlement, M. Nabih Berry.
M. Hariri a tenu ces propos lors d’un iftar qu’il a offert hier en l’honneur des associations civiles à Beyrouth et dans les autres régions libanaises. Environ 700 personnes et une cinquantaine d’enfants de l’orphelinat islamique ont pris part à la rupture du jeûne.
«Je suis de ceux qui prônent que les divergences soient surmontées et que la solidarité nationale soit renforcée, a-t-il dit. Nous devons prendre en considération l’intérêt supérieur du pays, éviter tout ce qui pourrait susciter des dissensions et encourager tout ce qui est susceptible de rapprocher les Libanais».
Le chef du gouvernement a par ailleurs exclu une guerre régionale qui «porte préjudice à toutes les parties en conflit, aussi bien les pays arabes qu’Israël». «L’Etat hébreu a essayé en vain en 1978 et en 1982 l’option de la guerre, a-t-il dit. Nous savons que l’armée israélienne est capable de frapper les civils, de tuer les innocents et de détruire les maisons, mais cela ne conduira pas le Liban à infléchir sa politique. De même que la guerre ne peut pas contraindre la Syrie à modifier sa décision politique».
M. Hariri a réaffirmé que les élections municipales auront lieu à la date prévue début juin. Concernant la municipalité de Beyrouth, le chef du gouvernement a déclaré que la communauté grecque-orthodoxe ne sera en aucun cas lésée dans la capitale où les sunnites représentent la majorité des électeurs.
M. Hariri a tenu ces propos lors d’un iftar qu’il a offert hier en l’honneur des associations civiles à Beyrouth et dans les autres régions libanaises. Environ 700 personnes et une cinquantaine d’enfants de l’orphelinat islamique ont pris part à la rupture du jeûne.
«Je suis de ceux qui prônent que les divergences soient surmontées et que la solidarité nationale soit renforcée, a-t-il dit. Nous devons prendre en considération l’intérêt supérieur du pays, éviter tout ce qui pourrait susciter des dissensions et encourager tout ce qui est susceptible de rapprocher les Libanais».
Le chef du gouvernement a par ailleurs exclu une guerre régionale qui «porte préjudice à toutes les parties en conflit, aussi bien les pays arabes qu’Israël». «L’Etat hébreu a essayé en vain en 1978 et en 1982 l’option de la guerre, a-t-il dit. Nous savons que l’armée israélienne est capable de frapper les civils, de tuer les innocents et de détruire les maisons, mais cela ne conduira pas le Liban à infléchir sa politique. De même que la guerre ne peut pas contraindre la Syrie à modifier sa décision politique».
M. Hariri a réaffirmé que les élections municipales auront lieu à la date prévue début juin. Concernant la municipalité de Beyrouth, le chef du gouvernement a déclaré que la communauté grecque-orthodoxe ne sera en aucun cas lésée dans la capitale où les sunnites représentent la majorité des électeurs.
Le chef du gouvernement, M. Rafic Hariri, a déclaré qu’il ne prendra pas part à la «polémique» qui oppose depuis plusieurs jours le président de la République, M. Elias Hraoui, et le chef du Parlement, M. Nabih Berry.M. Hariri a tenu ces propos lors d’un iftar qu’il a offert hier en l’honneur des associations civiles à Beyrouth et dans les autres régions libanaises....
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