Moustapha Ghabris et les intervenants, de gauche à droite : Noura, Cynthya Karam, Coco, Naila et Youssef. Photos Mustafa al-Zein et Hussein Chabakji. Montage Jaimee Lee Haddad/L’OLJ
Les lumières étaient tamisées en ce mercredi soir, juste assez pour que les visiteurs aient l’impression que le crépuscule s’était installé en douceur à l’intérieur de Station Beirut. Au cœur de Beyrouth, cet espace culturel s’est transformé en un lieu à la fois intime, amical et lumineux. Seize visages d’inconnus habitent les murs, retiennent le regard, interpellent, chaque portrait étant associé à un code QR. Scannez-le, et une voix qui appartient à la ville vous chuchotera une histoire. Son histoire. Certaines durent une minute, d’autres un peu plus. Ensemble, elles font écho à des sentiments qui parlent de douleur, d’amour, de survie. Ensemble, elles ont composé l’exposition « Beirut Sonder Stories ». Ce soir-là, cinq de ces personnages ont pris forme et vie et, par leur présence et leurs témoignages, ont célébré de la...
Les lumières étaient tamisées en ce mercredi soir, juste assez pour que les visiteurs aient l’impression que le crépuscule s’était installé en douceur à l’intérieur de Station Beirut. Au cœur de Beyrouth, cet espace culturel s’est transformé en un lieu à la fois intime, amical et lumineux. Seize visages d’inconnus habitent les murs, retiennent le regard, interpellent, chaque portrait étant associé à un code QR. Scannez-le, et une voix qui appartient à la ville vous chuchotera une histoire. Son histoire. Certaines durent une minute, d’autres un peu plus. Ensemble, elles font écho à des sentiments qui parlent de douleur, d’amour, de survie. Ensemble, elles ont composé l’exposition « Beirut Sonder Stories ». Ce soir-là, cinq de ces personnages ont pris forme et vie et, par leur présence et leurs...
