« Nous ne savons pas encore quelle capacité d’enrichissement l’Iran conserve après l’attaque américaine »
Malgré le cessez-le-feu avec Israël, Téhéran pourrait, selon plusieurs observateurs, faire le choix de développer en secret l’arme nucléaire que Tel-Aviv l’accusait d’être sur le point d’obtenir.
Propos recueillis par Laure-Maïssa FARJALLAH,
le 24 juin 2025 à 00h00
, mis à jour à
12h00
Une image satellite fournie par Maxar Technologies du site nucléaire iranien d’enrichissement de Fordo, enfoui sous terre, le 19 juin 2025, avant des frappes américaines quelques jours plus tard. Photo AFP
Après les frappes américaines dimanche 22 juin contre les trois sites nucléaires iraniens de Fordo, Natanz et Ispahan, l’Iran ne disposait d’aucun bon choix pour riposter sans mettre en danger la survie de son régime. La République islamique a ainsi choisi d'envoyer des missiles sur une base américaine au Qatar, orchestrant sa réponse avec Doha. Alors qu'une trêve a été annoncée par le président américain Donald Trump, Téhéran pourrait néanmoins, selon plusieurs observateurs, faire le choix de développer en secret l’arme nucléaire qu’Israël l’accusait d’être sur le point d’obtenir avant de lancer sa guerre contre l’Iran le 13 juin. Une perspective que l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) aurait du mal à contrôler, le comité national de sécurité de l'Iran ayant approuvé lundi soir l'idée d'une suspension de la coopération...
Après les frappes américaines dimanche 22 juin contre les trois sites nucléaires iraniens de Fordo, Natanz et Ispahan, l’Iran ne disposait d’aucun bon choix pour riposter sans mettre en danger la survie de son régime. La République islamique a ainsi choisi d'envoyer des missiles sur une base américaine au Qatar, orchestrant sa réponse avec Doha. Alors qu'une trêve a été annoncée par le président américain Donald Trump, Téhéran pourrait néanmoins, selon plusieurs observateurs, faire le choix de développer en secret l’arme nucléaire qu’Israël l’accusait d’être sur le point d’obtenir avant de lancer sa guerre contre l’Iran le 13 juin. Une perspective que l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) aurait du mal à contrôler, le comité national de sécurité de l'Iran ayant approuvé lundi...
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D’où l’impossibilité de la cessassion des hostilités entre l’Iran et le monde prises par les israéliens à leur charge, puisque les occidentaux n’en ont pas le courage mais qui reprochent à Israël de faire le sale boulot à leur place pendant qu’ils se frottent tous les mains voyant les mollahs au bord du précipice pour pouvoir profiter des suites des événements sans que cela ne leur coûte le moindre effort aussi bien financier que militaire.
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D’où l’impossibilité de la cessassion des hostilités entre l’Iran et le monde prises par les israéliens à leur charge, puisque les occidentaux n’en ont pas le courage mais qui reprochent à Israël de faire le sale boulot à leur place pendant qu’ils se frottent tous les mains voyant les mollahs au bord du précipice pour pouvoir profiter des suites des événements sans que cela ne leur coûte le moindre effort aussi bien financier que militaire.
D’où l’impossibilité de la cessassion des hostilités entre l’Iran et le monde prises par les israéliens à leur charge, puisque les occidentaux n’en ont pas le courage mais qui reprochent à Israël de faire le sale boulot à leur place pendant qu’ils se frottent tous les mains voyant les mollahs au bord du précipice pour pouvoir profiter des suites des événements sans que cela ne leur coûte le moindre effort aussi bien financier que militaire.
09 h 10, le 24 juin 2025