Une photo satellite du détroit d’Ormuz et du golfe d’Oman, prise par le satellite Terra de la NASA, le 5 février 2025. NASA Earth Observatory/AFP
Alors que les retombées du conflit entre Israël et l’Iran ont déjà douché en partie les espoirs des professionnels pour la saison touristique, une autre menace potentielle pointe à l’horizon pour l’économie libanaise : le risque de plus en plus concret d’un blocage par Téhéran du détroit d’Ormuz – par lequel transite près de 20 % du trafic pétrolier mondial en riposte aux frappes israéliennes et américaines sur son territoire et sites nucléaires. Déjà évoqué ces dernières semaines, ce scénario catastrophe pour l’économie mondiale a repris corps avec la décision, dimanche 22 juin, du Parlement iranien d’approuver cette fermeture, même si le Conseil suprême de sécurité nationale doit encore valider sa mise en place et que le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, s’est contenté de répondre à ce...
Alors que les retombées du conflit entre Israël et l’Iran ont déjà douché en partie les espoirs des professionnels pour la saison touristique, une autre menace potentielle pointe à l’horizon pour l’économie libanaise : le risque de plus en plus concret d’un blocage par Téhéran du détroit d’Ormuz – par lequel transite près de 20 % du trafic pétrolier mondial en riposte aux frappes israéliennes et américaines sur son territoire et sites nucléaires. Déjà évoqué ces dernières semaines, ce scénario catastrophe pour l’économie mondiale a repris corps avec la décision, dimanche 22 juin, du Parlement iranien d’approuver cette fermeture, même si le Conseil suprême de sécurité nationale doit encore valider sa mise en place et que le ministre iranien des Affaires étrangères,...
