Des Palestiniens se tiennent sur les décombres d'un bâtiment démoli dans le village de Khallet al-Dabaa en Cisjordanie occupée le 6 mai 2025, après que les forces israéliennes ont détruit 95 % de toutes les maisons, déplaçant une centaine de personnes. Photo AFP
5 mai 2025, vers 11h30. Il ne reste presque plus rien du hameau de Khallet al-Dabaa, localité située dans la zone semi-désertique de Masafer Yatta, au sud d’Hébron (Cisjordanie occupée). Les bulldozers de l’armée israélienne ont tout emporté : maisons, grottes, réservoirs d’eau, panneaux solaires… laissant une centaine d’habitants sur le carreau. Pour les Palestiniens, cette violence n’est pas nouvelle. Elle témoigne d’un changement d’échelle plutôt que de nature. Il y a celle de l’armée d’occupation qui peut débarquer en pleine nuit pour réduire en cendres leurs habitations et humilier les parents devant leurs enfants. Et il y a celle, complémentaire, des colons qui sèment la terreur et harcèlent la population à coup d’agressions physiques et verbales, de jets de pierre contre leurs biens et d’incendies.Une omnipotence soutenue par...
5 mai 2025, vers 11h30. Il ne reste presque plus rien du hameau de Khallet al-Dabaa, localité située dans la zone semi-désertique de Masafer Yatta, au sud d’Hébron (Cisjordanie occupée). Les bulldozers de l’armée israélienne ont tout emporté : maisons, grottes, réservoirs d’eau, panneaux solaires… laissant une centaine d’habitants sur le carreau. Pour les Palestiniens, cette violence n’est pas nouvelle. Elle témoigne d’un changement d’échelle plutôt que de nature. Il y a celle de l’armée d’occupation qui peut débarquer en pleine nuit pour réduire en cendres leurs habitations et humilier les parents devant leurs enfants. Et il y a celle, complémentaire, des colons qui sèment la terreur et harcèlent la population à coup d’agressions physiques et verbales, de jets de pierre contre leurs biens et...
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On ne bâtit pas un état sur la violence etl'injustice ettôt ou tard, les Israéliens le paieront. Ils pourront alors pleurnicher sur leur sort et accuser le monde entier d'antisémitisme, relayés par des personnages nauséabonds et des pseudo-philosophes.
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On ne bâtit pas un état sur la violence etl'injustice ettôt ou tard, les Israéliens le paieront. Ils pourront alors pleurnicher sur leur sort et accuser le monde entier d'antisémitisme, relayés par des personnages nauséabonds et des pseudo-philosophes.
Politiquement incorrect(e)
15 h 06, le 13 juin 2025
Une photo saisissante publiée dans le journal français "le Monde" la semaine dernière est très significative de la violence des colons. Sur cette photo, il n'y a ni personnes blessées, ni tuées, pas de sang ! Juste une quinzaine de voitures de palestiniens alignées et brûlées. On ressent par cette photo toute la xénophobie et l'intégration mentale du suprématisme des colons persuadés que leur lecture de "peuple élu" dans la bible signifie "peuple supérieur ". Qu'ils se ravisent :la Bible n'est pas "Mein Kampf".
Fredo
01 h 33, le 13 juin 2025
Durant l'Empire Ottoman ( depuis le milieu du XX ème siècle ) et le mandat britannique sur la Palestine en 1948, Jerusalem était à majorité juive et chrétienne. Quand la légion arabe de Jordanie a vaincu Tsahal, elle a conquis tous les lieux saints des trois religions, a annexé la Cisjordanie et a fait installer de nombreux habitants de Hébron à Jérusalem, ce qui expliquent le nombre importants de musulmans sur Jerusalem et que les marchands de la porte de Damas ( tous chrétien avant 1948) sont tous musulmans sauf une menuiserie
On ne bâtit pas un état sur la violence etl'injustice ettôt ou tard, les Israéliens le paieront. Ils pourront alors pleurnicher sur leur sort et accuser le monde entier d'antisémitisme, relayés par des personnages nauséabonds et des pseudo-philosophes.
15 h 06, le 13 juin 2025