Un combattant anti-régime déchire un tableau représentant Bachar Al-Assad et son frère dans un aéroport du nord de la Syrie, en décembre 2024. Photo d’archives AFP.
La présidence syrienne a annoncé samedi la création d'une commission nationale pour la justice de transition, chargé de faire la lumière sur les crimes du régime de l'ancien dictateur plus de cinq mois après sa chute, et après plus d'une décennie de guerre.
Selon un décret signé par le président par intérim Ahmad al-Chareh, cet organisme est chargé de « découvrir la vérité sur les graves violations commises par l'ancien régime », demander des comptes aux responsables « en coordination avec les autorités compétentes, réparer les préjudices causés aux victimes et établir fermement les principes de non-répétition (de ces crimes) et de réconciliation nationale ».
La présidence syrienne a annoncé samedi la création d'une commission nationale pour la justice de transition, chargé de faire la lumière sur les crimes du régime de l'ancien dictateur plus de cinq mois après sa chute, et après plus d'une décennie de guerre.
Selon un décret signé par le président par intérim Ahmad al-Chareh, cet organisme est chargé de « découvrir la vérité sur les graves violations commises par l'ancien régime », demander des comptes aux responsables « en coordination avec les autorités compétentes, réparer les préjudices causés aux victimes et établir fermement les principes de non-répétition (de ces crimes) et de réconciliation nationale ». Lire aussi Quelle justice transitionnelle pour la Syrie ?
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