Un combattant anti-régime déchire un tableau représentant Bachar Al-Assad et son frère dans un aéroport du nord de la Syrie, en décembre 2024. Photo d’archives AFP.
L’euphorie post-Assad est retombée depuis longtemps. Et pour l’heure, tous les voyants sont au rouge. Les massacres anti-alaouites perpétrés sur la côte syrienne au début du mois de mars par des groupes armés proches du pouvoir, la multiplication des exactions à caractère communautaire à leur encontre et les derniers événements qui ont enflammé dès lundi soir Jaramana, localité à majorité druze dans la banlieue de Damas, sont venus rappeler combien la haine était vive. Et qu’il ne suffit pas d’un changement de régime pour clore le chapitre du fiel confessionnel et de la violence politique débridée qui en découle. À cela s’ajoute une crise économique aiguë, des défis sécuritaires de taille et une réalité géopolitique inquiétante. Israël et la Turquie se livrent à un bras de fer sur le terrain syrien et Tel-Aviv n’hésite pas à faire...
L’euphorie post-Assad est retombée depuis longtemps. Et pour l’heure, tous les voyants sont au rouge. Les massacres anti-alaouites perpétrés sur la côte syrienne au début du mois de mars par des groupes armés proches du pouvoir, la multiplication des exactions à caractère communautaire à leur encontre et les derniers événements qui ont enflammé dès lundi soir Jaramana, localité à majorité druze dans la banlieue de Damas, sont venus rappeler combien la haine était vive. Et qu’il ne suffit pas d’un changement de régime pour clore le chapitre du fiel confessionnel et de la violence politique débridée qui en découle. À cela s’ajoute une crise économique aiguë, des défis sécuritaires de taille et une réalité géopolitique inquiétante. Israël et la Turquie se livrent à un bras de fer sur le terrain...
et nous le Libanais avons fait tout ça? Peut être il faut résoudre nos problèmes internes avant de donner conseil au monde.
09 h 01, le 04 mai 2025