Mazloum Abdi, commandant en chef des Forces démocratiques syriennes (FDS), prend la parole lors de la conférence pan-kurde « Unité et consensus » à Qamishli, dans le nord-est de la Syrie, le 26 avril 2025. Photo AFP/ DELIL SOULEIMAN.
La présidence syrienne a dit rejeter dimanche « toute tentative » de partition kurde, au lendemain d'une conférence lors de laquelle les Kurdes ont demandé un « État démocratique décentralisé » garantissant leurs droits.
« Nous rejetons clairement toute tentative d'imposer une réalité séparatiste ou de créer des entités séparées sous le couvert du fédéralisme (...) sans un consensus national global », a déclaré la présidence dans un communiqué, condamnant « les récentes activités et déclarations » des Forces Démocratiques Syriennes (FDS) qui « appellent au fédéralisme ».
La présidence syrienne a dit rejeter dimanche « toute tentative » de partition kurde, au lendemain d'une conférence lors de laquelle les Kurdes ont demandé un « État démocratique décentralisé » garantissant leurs droits.
« Nous rejetons clairement toute tentative d'imposer une réalité séparatiste ou de créer des entités séparées sous le couvert du fédéralisme (...) sans un consensus national global », a déclaré la présidence dans un communiqué, condamnant « les récentes activités et déclarations » des Forces Démocratiques Syriennes (FDS) qui « appellent au fédéralisme ».
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