
Le président de la République, Joseph Aoun, accueille le président du Parlement Nabih Berry, à Baabda le 7 mars 2025. Photo ANI
Ayant assimilé la leçon de son prédécesseur, le chef de l’État se montre conciliant avec le président du Parlement... en attendant un changement des rapports de force.
OLJ / Par Jeanine JAKLH, le 27 mars 2025 à 00h00
Le président de la République, Joseph Aoun, accueille le président du Parlement Nabih Berry, à Baabda le 7 mars 2025. Photo ANI
Avec tout le respect pour le Président, nous lui rappelons que le temps qu’il prend pour allié joue contre les intérêts du Liban et ne profite qu’aux seuls vendus qui attendent leur heure pour reprendre du service en se servant de leurs roublardises qui leur ont permis de trôner en seuls décideurs dans notre pays face à des présidents comme lui, qui croyaient toujours qu’en les caressant dans le sens des poils ils arriveraient à les domestiquer. Cela fait quarante que ces méthodes ont fait leurs preuves, alors comment M. Aoun compte t-il faire pour renverser la situation avec les mêmes astuce
Une complicité inquiétante. Comment vouloir bâtir un "nouveau Liban" qvec un Berry, éterne; président du Parlement, symbole le plus évident de l'ancien régime et de toute sa pourriture?
Avec tout le respect pour le Président, nous lui rappelons que le temps qu’il prend pour allié joue contre les intérêts du Liban et ne profite qu’aux seuls vendus qui attendent leur heure pour reprendre du service en se servant de leurs roublardises qui leur ont permis de trôner en seuls décideurs dans notre pays face à des présidents comme lui, qui croyaient toujours qu’en les caressant dans le sens des poils ils arriveraient à les domestiquer. Cela fait quarante que ces méthodes ont fait leurs preuves, alors comment M. Aoun compte t-il faire pour renverser la situation avec les mêmes astuce
10 h 59, le 27 mars 2025