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Politique - UNE HISTOIRE À LA MARGE

Au Liban-Sud, la loi du plus fort (3/3)

Alors qu’un déluge de feu s’abat sur la région, L’OLJ explore la mémoire d’une terre méconnue.  Dans ce  dernier épisode, un nouveau chapitre s'ouvre avec le début de la guerre civile. 

OLJ / Par Stéphanie KHOURI, le 06 novembre 2024 à 00h00

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Au Liban-Sud, la loi du plus fort (3/3)

Yitzhak Shamir rencontre le général Antoine Lahd, commandant en chef de l’Armée du Liban-Sud, le 18 juillet 1985. Jaimee Haddad/AFP

Dans le dossier Liban-Sud, une histoire à la marge
Bint Jbeil, le 25 juin 1978. Les rues sont vides, comme après « un séisme », écrit Maroun Baghdadi dans les pages de . Le cyclone vient de passer, les Israéliens se sont repliés, mais le village manque de tout. Sans électricité, les foyers plongent...
Bint Jbeil, le 25 juin 1978. Les rues sont vides, comme après « un séisme », écrit Maroun Baghdadi dans les pages de . Le cyclone vient de passer, les Israéliens se sont repliés, mais le village manque de tout. Sans électricité, les foyers plongent...
commentaires (12)

Article intéressant et factuel qui montre ce qui a poussé à la création du Hezbollah (occupation israélienne, exactions subies par les habitants du Sud par Israël et ALS, et abandon total des institutions libanaises). Dommage qu'on ait plein de personnes en commentaires qui refusent de reconnaître que les miliciens de ALS (quelque soit leur religions - on s'en fout) étaient des agents libanais à la solde des Israéliens. Il faut laisser notre égo de côté, et reconnaître que nous nous sommes entretuer entre libanais pour uniquement servir des intérêts égoïstes, se pardonner et avancer ensemble

Libanese

16 h 28, le 07 novembre 2024

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Commentaires (12)

  • Article intéressant et factuel qui montre ce qui a poussé à la création du Hezbollah (occupation israélienne, exactions subies par les habitants du Sud par Israël et ALS, et abandon total des institutions libanaises). Dommage qu'on ait plein de personnes en commentaires qui refusent de reconnaître que les miliciens de ALS (quelque soit leur religions - on s'en fout) étaient des agents libanais à la solde des Israéliens. Il faut laisser notre égo de côté, et reconnaître que nous nous sommes entretuer entre libanais pour uniquement servir des intérêts égoïstes, se pardonner et avancer ensemble

    Libanese

    16 h 28, le 07 novembre 2024

  • Soit l'auteur de l'article n'a pas vécu ces évènements(n'étant pas née ou trop jeune à cette époque )soit elle s'est documentée par ci et par là.D'où d'énormes erreurs historiques dans son article.Dommage,il aurait mieux fallu une personne qui a connu tous les détails au lieu de déformer(involontairement sans doute? ) les évènements notamment la présence arabe(au delà de la présence syrienne.Présence qui a disparu à cause des attentats et menaces syriennes à leur encontre.D'autres commentateurs pourraient aussi déceler les erreurs monumentales.Pas la peine de les reprendre.Bonne journée

    LE FRANCOPHONE

    10 h 18, le 07 novembre 2024

  • Pour prendre le contre-pied de commentateurs pro-Hezb on peut trouver au contraire que le début de l’article est un peu trop hagiographique sur les pseudos « résistants » en sous-évaluant le terrain de jeu qu’est devenu le Sud pour les puissances régionales notamment l’Iran. Rappelons que les chiites du Sud étaient historiquement contre l’utilisation de leur territoire par d’autres contre Israël. Le retournement est intervenu avec la récupération honteuse de leur misère par les visées impérialistes de l'Iran

    AntoineK

    23 h 22, le 06 novembre 2024

  • Quant à Taëf, Il stipule avec beaucoup d’exactitude le retrait des armes de toutes les milices. Comme toujours seuls les FL ont respecté l’accord, et le respectent encore, alors que les dirigeants de l’époque, de Hariri à Joumblatt et tous les autres, avec l’aide et le support de la Syrie, l’ont piétiné jusqu’au jours ou ils ont compris O combien les FL avaient raison. Nous connaissons la suite. Malheureusement le CPL puis le Futur ont lâché sous les coups de boutoirs du HB. Heureusement que les souverainistes sont toujours la pour mettre les points sur les « i ». L’avenir nous appartient !

    Pierre Christo Hadjigeorgiou

    16 h 37, le 06 novembre 2024

  • Une fois que Barak a annoncé le retrait proche de ses troupes, HB a commencé de petites opérations contre Tsahal. Sa soi-disant libération ne fut qu’une fumisterie. Il s’en est servi pour se faire une réputation et faire croire à tout le monde que ses armes sont la solution contre l’ennemi. Ennemi dont ses patrons ont usé de ses services contre Saddam et lui contre Amal et l’ALS. Par la suite tout le monde connait le cours des évènements. Ils ont cru à leur fable et ça leur est monte à la tête. Depuis, ils ont assassiné, trafiqué, détruit, volé, etc… et nous en payons le prix aujourd’hui !

    Pierre Christo Hadjigeorgiou

    16 h 37, le 06 novembre 2024

  • Pour votre information le Hezbollah s’est imposé sur la scène Chiite avec l’aide et le support d’Israël ! Ce sont ces derniers qui leur faisaient passer armes et bagages à travers les lignes de l’ALS, contre leur gré, pour éliminer Amal au sud. Après cela le HB n’a jamais tiré sur Israël qu’en 1993 et 1996, dans les deux cas non pas pour libérer le sud mais créer une situation de tension au Liban et mettre son économie en exergue à petits pas.

    Pierre Christo Hadjigeorgiou

    16 h 37, le 06 novembre 2024

  • L’ALS n’était pas formée de déserteurs de l’armée mais après des ordres reçus de l’état Libanais pour sauver le Sud, d’ailleurs durant toute leur existence ils recevaient leur salaire de militaire normalement. La troupe était majoritairement Chiite et les officiers Chrétiens. En aucun cas ils n’étaient enrôlés par la force car tous les habitants du Sud en avaient marre des exactions palestiniennes. Sur ce, l’ALS n’était pas une force d’occupation et n’était pas financé par Israël mais soutenue par elle. L’ALS payait ses dus en bonne et due forme.

    Pierre Christo Hadjigeorgiou

    16 h 37, le 06 novembre 2024

  • Beaucoup d'erreurs historiques dans votre récit. Les forces Chrétiennes n'ont pas demandé l'intervention de l’armée Syrienne. Elles ont pénétré le Liban a la demande de la ligue Arabe suite à un accord entériné par le Front Libanais. Avec eux il y avait des Saoudiens, des Emiratis, des Soudanais, des Libyens... La Syrie a fomenté contre ces derniers des attentats jusqu’à les dégoûter et les faire partir les remplaçant par plus de 32.000 hommes de ses troupes. Ils étaient d'ailleurs intervenus suite à la chute de Tel el Zaatar, Dbayé, Quarantaine d'un côté et les Souks et Damour de l'autre

    Pierre Christo Hadjigeorgiou

    16 h 37, le 06 novembre 2024

  • Les commentateurs ont zappé les détails importants de cet article pour défendre le HB qui depuis le début a annoncé la couleur de sa motivation en s’appelant « Résistance Islamique » armée et financée par la république islamique pour ensuite se faire passer pour des résistants qui défendent notre pays qui ne s’est trouvé en danger que depuis qu’ils ont pris le contrôle de ses frontières et ensuite de ses institutions. Allons allons, un peu d’objectivité ne ferait de mal à personne. Qu’on arrête de réciter les leçons apprises par les usurpateurs qui se cachent derrière des slogans fallacieux.

    Sissi zayyat

    11 h 16, le 06 novembre 2024

  • Contrairement à ce qui est mentionné dans cet article, l’accord de Taëf ne permet pas au Hezbollah de devenir la seule milice armée de l’après-guerre! Au contraire, il prévoit le désarmement de toutes les milices. Mais nos dirigeants post Taëf, sous influence syrienne, ont décidé que le Hezbollah pouvait garder ses armes…

    GEARA MARC

    10 h 53, le 06 novembre 2024

  • Ce militaire a été le pire de l’armée libanaise S’allier avec l’ennemi !! Bon on sait oû il a fini

    TAMIN FAROUCK

    09 h 01, le 06 novembre 2024

  • Un récit très correct jusqu'à la section sur le Hezbollah, qui voit un dérapage fort et l'opinion propre de l'auteure poindre sa tête, clairement anti-Hezbollah, qui tache la fin d'un récit très informatif jusqu'ici. Ce n'est pas une question d'aimer ou de ne pas aimer le Hezbollah, mais une question du devoir journalistique de présenter l'histoire dans sa totalité: A lire ce texte, on croirait que le Hezbollah n'est qu'une nouvelle occupation du Sud clairement refusée comme celle des Israéliens avant eux. L'existence d'une forte base populaire prouve le contraire. On s'attend à mieux de L'OLJ

    Montagnard Perdu

    08 h 35, le 06 novembre 2024

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