Rechercher
Rechercher

Politique - UNE HISTOIRE A LA MARGE

Au Liban-Sud, l’alliance des déshérités (2/3)

Alors qu’un déluge de feu s’abat sur le Liban-Sud, « L’OLJ » explore la mémoire d’une terre méconnue. Dans ce deuxième épisode, retour sur l'histoire d'un renouveau chiite qui s'y déploie. 

Au Liban-Sud, l’alliance des déshérités (2/3)

Moussa Sadr lors d’une grève de la faim, pour protester contre la guerre civile libanaise. Date et auteur inconnus. Wikicommons / Jaimee Haddad

La moustache fine, les cheveux impeccablement laqués, Adel Osseirane a trente-cinq, quarante ans tout au plus, lorsqu’est réalisé le cliché. Un portrait en noir et blanc, flanqué d’un drapeau libanais, pour un timbre vendu 1 000 L.L. Et cette...
La moustache fine, les cheveux impeccablement laqués, Adel Osseirane a trente-cinq, quarante ans tout au plus, lorsqu’est réalisé le cliché. Un portrait en noir et blanc, flanqué d’un drapeau libanais, pour un timbre vendu 1 000 L.L. Et cette...
commentaires (2)

La France est partie et l’Iran est entré

Eleni Caridopoulou

14 h 13, le 05 novembre 2024

Tous les commentaires

Commentaires (2)

  • La France est partie et l’Iran est entré

    Eleni Caridopoulou

    14 h 13, le 05 novembre 2024

  • Malheureusement, pour Sadr comme n'importe qui d'autre, il n'y a aucune excuse pour trahir son pays. Il l'a fait au dépends des Libanais y compris des chiites, comme l'ont fait les Karamé, Joumblatt et compagnie a l’époque et Hassouna aujourd'hui. Ils ont préféré trahir que respecter la constitution et les lois du pays. Apres plus de 70 ans d’indépendance, tout ce dont ils se sont battus pour va s'envoler car bien mal acquis ne profite a personne. Trop tard pour pleurer et espérons que nous pourrons sauver ce qui reste.

    Pierre Christo Hadjigeorgiou

    09 h 49, le 05 novembre 2024

Retour en haut