
Moussa Sadr lors d’une grève de la faim, pour protester contre la guerre civile libanaise. Date et auteur inconnus. Wikicommons / Jaimee Haddad
Alors qu’un déluge de feu s’abat sur le Liban-Sud, « L’OLJ » explore la mémoire d’une terre méconnue. Dans ce deuxième épisode, retour sur l'histoire d'un renouveau chiite qui s'y déploie.
OLJ / Par Stéphanie KHOURI, le 05 novembre 2024 à 00h00
Moussa Sadr lors d’une grève de la faim, pour protester contre la guerre civile libanaise. Date et auteur inconnus. Wikicommons / Jaimee Haddad
La France est partie et l’Iran est entré
Malheureusement, pour Sadr comme n'importe qui d'autre, il n'y a aucune excuse pour trahir son pays. Il l'a fait au dépends des Libanais y compris des chiites, comme l'ont fait les Karamé, Joumblatt et compagnie a l’époque et Hassouna aujourd'hui. Ils ont préféré trahir que respecter la constitution et les lois du pays. Apres plus de 70 ans d’indépendance, tout ce dont ils se sont battus pour va s'envoler car bien mal acquis ne profite a personne. Trop tard pour pleurer et espérons que nous pourrons sauver ce qui reste.
La France est partie et l’Iran est entré
14 h 13, le 05 novembre 2024