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Société - Focus

Ces secouristes libanais qui risquent leur vie pour sauver les victimes des frappes israéliennes

Les organisations de défense des droits recueillent des preuves pour déterminer si Israël prend délibérément pour cible les secouristes au Liban.

Ces secouristes libanais qui risquent leur vie pour sauver les victimes des frappes israéliennes

Ali Najdi, secouriste de la Croix-Rouge libanaise à Tyr, au Liban-Sud, montre sur son smartphone une photo d'un gilet et d'un casque qu'il a utilisés lors d'une mission de sauvetage en octobre dernier. Photo Matthieu Karam

Lorsqu'on lui demande quelle est la mission la plus difficile à laquelle il a participé depuis le début du conflit entre Israël et le Hezbollah, le 8 octobre dernier, Hussein Awada, volontaire nouvellement recruté par le Comité sanitaire islamique affilié au Hezbollah, se couvre le visage et éclate en sanglots. Le 3 juin, il faisait partie de l'équipe de secouristes qui a répondu à une attaque israélienne contre une ambulance à Naqoura au Liban-Sud. La frappe a tué le conducteur de l'ambulance, Haïdar Mahmoud Joheir, et blessé un secouriste. Tous deux étaient des amis proches et volontaires de l'association.« Vous pouvez partager une pause tranquille avec vos collègues au poste, puis quelques instants plus tard vous précipiter vers une urgence à laquelle ils ont répondu et apprendre qu'ils ont été blessés ou tués », explique Hassan...
Lorsqu'on lui demande quelle est la mission la plus difficile à laquelle il a participé depuis le début du conflit entre Israël et le Hezbollah, le 8 octobre dernier, Hussein Awada, volontaire nouvellement recruté par le Comité sanitaire islamique affilié au Hezbollah, se couvre le visage et éclate en sanglots. Le 3 juin, il faisait partie de l'équipe de secouristes qui a répondu à une attaque israélienne contre une ambulance à Naqoura au Liban-Sud. La frappe a tué le conducteur de l'ambulance, Haïdar Mahmoud Joheir, et blessé un secouriste. Tous deux étaient des amis proches et volontaires de l'association.« Vous pouvez partager une pause tranquille avec vos collègues au poste, puis quelques instants plus tard vous précipiter vers une urgence à laquelle ils ont répondu et apprendre qu'ils ont été blessés ou...
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