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Le dernier Foenkinos

Intitulé La Vie heureuse, le dernier roman de David Foenkinos est sorti le 4 janvier chez Gallimard. Il raconte l’histoire d’Eric qui, après vingt ans passés chez Décathlon, est contacté par Amélie, une ancienne camarade de classe, pour travailler au Secrétariat du commerce extérieur. Bientôt, il se rend avec elle en Corée du Sud où il découvre un lieu étrange où s’organisent de fausses funérailles pour renaître et donner un nouvel élan à sa vie. De retour en France, il décide de monter le même commerce…

Génération farniente

Journaliste spécialisé dans les sujets économiques, Pascal Perri se penche sur un nouveau phénomène : l’allergie au travail. Dans Génération farniente, sous-titré Pourquoi les jeunes ont-ils perdu le goût du travail ? et paru aux éditions de L’Archipel, il se demande si la France n’est pas allée trop loin dans les protections accordées aux citoyens, si l’école n’a pas été défaillante au point de ne plus enseigner le goût de l’effort, et si les nouveaux services de la société (comme Netflix ou Deliveroo) ne flattent pas la passivité « en désignant le canapé comme le centre de la vie »… Un essai passionnant qui donne à réfléchir. 

Leonard Cohen, post mortem

En dix-sept chapitres, le grand compositeur, interprète et poète Leonard Cohen (1934-2016) nous offre un roman en forme de fable kafkaïenne. Un bonheur de lecture, tout comme les nouvelles qui accompagnent cette édition posthume intitulée Un ballet de lépreux, et parue en français aux éditions du Seuil.

Vent du Nord d’Antoine Daher

Atteint d’une maladie incurable, Alexandre prend la décision de tout laisser tomber et de partir avec son bâton de marche. Dans un décor de montagnes du nord du Liban, Vent du nord (éditions L’Harmattan), premier roman d’Antoine Daher, médecin de profession et ancien rédacteur en chef du magazine Elle Oriental, nous montre comment surmonter la maladie en se plongeant dans un milieu qui captive tous les sens, et nous fait redécouvrir l’authenticité et la simplicité perdues.

Derrida en arabe

Les éditions Dar as-Saqi viennent de publier la traduction en arabe par Jalal Badleh de Penser, c’est dire non (An toufaker : an takoula la) du philosophe Jacques Derrida (1930-2004), paru aux éditions du Seuil. C’est durant l’année 1960-1961 que Derrida, alors assistant en philosophie générale et logique à La Sorbonne, entreprend un cours magistral en quatre séances autour d’une lecture de la phrase d’Alain : « Penser, c’est dire non. » Cet ouvrage, qui nous restitue le cours, constitue un bon point de départ pour une réflexion sur la « déconstruction » comme manière de philosopher.

Le dernier FoenkinosIntitulé La Vie heureuse, le dernier roman de David Foenkinos est sorti le 4 janvier chez Gallimard. Il raconte l’histoire d’Eric qui, après vingt ans passés chez Décathlon, est contacté par Amélie, une ancienne camarade de classe, pour travailler au Secrétariat du commerce extérieur. Bientôt, il se rend avec elle en Corée du Sud où il découvre un...

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