
Précurseur de la nouvelle vague libanaise. Crédit Nadi Lekol el-Nas
Il aura représenté la démence et l’acharnement cinématographique d'un XXe siècle brutal. Dans la capitale des douleurs qu’était Beyrouth, il sera l’un des premiers à faire rayonner le 7e art dans cet Occident dont il rêvait. Trente ans après sa mort, ses proches dressent le parcours d’un homme qui voulait aller vite, trop vite.
OLJ / Par Karl RICHA, le 20 décembre 2023 à 00h00
Précurseur de la nouvelle vague libanaise. Crédit Nadi Lekol el-Nas
Il était melkite catholique.
Il n'est pas orthodoxe !
Incroyable orthodoxe prénomme Maroun , surtout aux années soixante les maronites et les orthodoxes n’étaient pas très amis
Maroun Baghdadi... avait bien narré nos, ma, vie,s, durant la guerre. Au revoir à cet autre génie, à la libanaise, de notre pays qui en a si besoin de nos jours.
Salut Maroun. 30 ans apres, tu nous manques toujours.
Quel bon cinéaste.Peut-être il été à Jamhour? Moi et les étudiants des années 60 nous l’avons bien connu chez les Frères du collège Sacré Cœur à Gemayzé.
Un grand cinéaste. Et un très bon article retraçant le parcours et l’œuvre de Maroun Baghdadi. Peut-être il est passé à Jamhour ?mais moi je l’ai bien connu au collège des Frères Sacré Cœur à Jemayzé où il a passé quelques années .
""...et le petit Maroun d’un quartier de Gemmayzé devenu pointure de cinéma veut voir, toucher, sentir le vent du changement souffler"". À l’époque, les jeunes cinéphiles de ma génération admiraient la stature du cinéaste. L’article ne dévoile rien sur les circonstances de sa mort. J’ai encore le souvenir d’un propos du correspondant d’un journal français, précisant, bien qu’il était prénommé Maroun, il était orthodoxe. Les préjugés ont la vie dure, et c’était l’époque où l’on précisait la confession d’un artiste pour souligner s’il est en rupture avec son milieu…
Il était melkite catholique.
09 h 28, le 23 décembre 2023